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Chapitre 20
Heureuse que l'euvre de mon esprit, je regardas Tom, et me mit à pleurer toutes les larmes de mon corps car, ce que j'avais regardé, ce n'était pas lui, mais le vide...
Je commençai à m’affoler, je regardais partout. Chaque fois que je voulais explorer un nouvel endroit avec mon regard, je fermais les yeux, et j'implorais quelqu'un... Qui? Je n’en savais rien, tout ce que je savais, c'est que j’espérais que grâce à cela, en tournant ma tête, j'allais voir celui que j'aimais au fond de mon cœur, Tom. Malheureusement pour moi, cela n'avait servi à rien, alors je commençai à pleurer. Les larmes se déversaient facilement, je n'avais pas besoin de me forcer. Pendant de longues minutes, un toran trônait sur mes joues mais, petit à petit il se rétrécissait jusqu'à ne plus montrer ne serait-ce qu'une seule larme. Lorsque ce moment arriva je me levai et, continua mon chemin car pendant ces minutes de répit j'avais réalisé que ce n'était autre qu'une autre épreuve et que pour la réussir je devais sûrement avancer, jusqu'à la fin du chemin. C'est donc ce que je fis, le brouillard qui jusqu'à présent m'avait harcelé c'était évaporer. Mon champ de vision s'était élargi à plusieurs mètres. Je pouvais maintenant voir quand des plantes qu'elles qu'elles soient allaient m'attaquer et ainsi je pouvais les éviter. Je marchai longtemps à un moment la curiosité m'emporta et je regardai le sablier, il me restait 3 heures. En y repensant peut-être que Tom avait fait de même? Peut-être était-il partit à ma recherche? Beaucoup de questions trottaient dans ma tête lorsque j’arrivai devant une grande glace ne reflétant rien. Elle séparait en deux parties égales par une vitre gigantesque, la grotte qui entourait maintenant le chemin. Il était impossible de la contourner car elle commençait d'un côté et finissait de l'autre. Il était impossible de la survoler car elle commençait d'en haut et finissait en bas. Cette glace occupait toute la surface il était donc à mon grand désespoir impossible de passer de l'autre côté. Je pensai-a la cassée mais je n'y arrivais pas elle était comme indestructible. Je pensai-à creuser un tunnel en dessous de cette vitre mais il m'était impossible d'y parvenir car la terre était dur comme fer. Alors, il ne restait plus qu'une chose à faire, attendre. Bien sûre quelques larmes avaient déjà coulé. Pendant les minutes pendantes lesquelles j'avais attendues j'avais jeté un coup d’œil au sablier. Ils nous restaient à tous les deux une heure, mais malheureusement à cause de cette glace je savais déjà que même si Tom arrivait à me rejoindre nous n'arriverons pas à continuer. Je ne me rendis pas compte mais au bout d'environ quinze minutes la fatigue me gagna et je m’endormis. Je ne me souviens plus de ce dont j'avais rêvé, tout ce que je ses c'est qu'il s'agissait d'un cauchemar bien agité. Je fus réveillé par des gémissements et, à mon réveil je vis Tom derrière la vitre. Au début je crus que ce n'était qu'une hallucination due à la fatigue, le manque d'êtres cherres à ses côtés et le désespoir. Mais apparemment non car, j’eus bau me frotter les yeux une dizaine de fois il était encore là. Quand je réalisai qu'il était vraiment là, je m'asseyais devant lui et pleurai, pleurai, pleurai, pleurai comme lui d’ailleurs... Je maudissais encore plus cette maudite glace. Ne supportant plus cet écart et en réalisant de quoi mon futur allait sûrement être fait, je regardai aux alentours. Du laurier rose y était planté. Je regardai le sablier, vingt minutes restantes. Je regardais encore une fois le laurier puis le sablier, je fis plusieurs fois ce mouvement une fois décidé, je me levai, me dirigea vers la plante, arracha un pétale et revint devant Tom. Je le regardais et il me regardait intrigué je portai le morceau de fleur à ma bouche. Il était au bord de ma bouche. Je regardais encore une fois Tom qui, essayais de toutes ces force de m'empêcher de manger le morceau de fleur. Je restai pendant quelques minutes à contempler c'est être qui m'était très cher puis alors que je fermais les yeux, je réfléchissais, les symptômes de l’indigestion de n'importe quelle partie de cette fleur étaient: mots de ventre, problème cardiaque qui peuvent enclencher la mort de la victime du poison. Voulais-je vraiment mourir? Une larme coula sur ma joue et, alors que j'approchais doucement le pétale et que Tom criait que je devais arrêter, une éclaire frappât la gigantesque vitre que nous séparait. Aussitôt je lâchai le pétale et courrai vers Tom, des larmes de joie se déversant sur mes joues. Arrivé devant Tom, il me prit dans ces bras et une fine poussière blanche nous fît tourner en rond jusqu'à nous faire voler. Je le regardais dans les yeux, et il fit de même. Je me rappelle comme ci c'était hier et je m'en rappellerais toujours ce moment magique, le moment de mon premiers VRAIS baiser. Car, à cet instant il s'était empressé de m'embrasser. Des milliers de pétales de rose étaient tombés du ciel. Lorsque la poussière nous avait complètement enveloppés et nous avait transportés dans la bibliothèque, je n'avais plus aucun doute, il était l'homme de ma vie. Comme promis, je me maria ensuite avec Tom. Plus tard, j’eus une fille nommée Élize, elle avait toutes les qualités et à ma grande surprise, elle suivie le même chemin que moi. Jusqu'à la dernière seconde de ma vie, je n'eus jamais regretté mes choix, mes sentiments, ma vie.
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Commentaires
6FandetachroniqueMercredi 20 Mai 2015 à 18:23OH MY GOD *0* ! Trop bien =D Stp pas besoin de sondage x')) ! FAIS LA SUITE !!! et préviens-moi ;)
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Oh c'est mignon *-*