• Chapitre 14

    Ma gouvernante me réveilla, il était 8h00, nous étions samedi et, si je me levais si tôt, c'était pour me préparer à mon nouveau départ,ma nouvelle vie, loin de ces problèmes et des études, si je me levais si tôt, c'était parce que nous étions le 7 juin, le jour de mon anniversaire, le jour; de mon mariage...


    -Gouvernante: allez debout mademoiselle c'est un jour important aujourd'hui!


    Ma gouvernante ou plutôt Mathilde, voyant que je somnolais encore, commença tout d'abord par m'enlever la couette, comme je n'en faisais qu'à ma tête, elle alla dans ma salle de bain personnelprit un seau, le remplit d'eau. Elle revenu ensuite vers moi et me disent d'un ton autoritaire:


    Mathilde: Je n'aime pas faire ça mais... Lèves-toi sinon tu ses ce qui va t'arriver.


    J'ouvris grand les yeux et me décidai à me lever pour éviter la «punition». Alors que j'avais à peine posé mes pieds sur le sol, Mathilde m’entraîna dans la salle à manger pour que je puisse déjeuner. Après un quart-d'heure Mathilde m’entraîna cette fois si, dans ma chambre.

     

    -Mathilde: le mariage est à 11h30 et, puisque tu es une vraie marmotte, nous n'avons plus que 2h15 pour te préparer. Il faut donc que tu te dépêches!


    Elle sortie de ma chambre puis revenue 5 minutes plus tard avec une grande robe blanche. À ce moment-là, bien que mon moral n'était déjà plus très haut, il redescendit au fond du trou en voyant que la robe n'était pas celle que j'espérais. Il s'agissait d'un modèle en coupe en A avec une grande étrenne à l'arrière, la robe était recouverte de plusieurs froufrous en dentelles. Mathilde avait aussi apporté des gants de mariée en dentelles.


    -Mathilde: Elle te plaît?
    -Moi: Et bien c'est que je ne m'attendais pas à ça mais... oui...


    Était-ce un signe comme quoi Tom n'était pas celui que je croyaisDe toutes façons que ce soit lui, ou non, j’étaie décidé, je répondrais oui. Alors que j’enfilai la robe ma mère surgit de nullepartipart. Quand elle me vit la robe enfilée elle commença àpleurer. Mais était-ce des larmes de joie? Je partis ensuite me maquiller l'appréhension s'empara alors de mon corps. Mes mainstremblaient, et je savais qu'au fond de moi, j'orais voulus que ce moment n'arrive jamais. Étant prête, je pris mon courage à deux mains et sortis du château. Dehors, se tenait un carrosse argentéaux allures de contes de fées. Il était tiré par des chevaux ailés de couleur blanche. Je montai avec mon père dans le véhicule qui s’envola aussi tôt. Les larmes de tristesse commençaient à venir àmes yeux, mais je les retins en m'efforçant de me dire qu'il s'agissait du plus beau jour de ma vie. Quand le carrosse s'arrêta devant un tapis rouge, je sortis du véhicule et avançai aux bras de mon père vers les grandes portes de l’église. Quelques soixantaines de personnes étaient là, me regardant avancer un sourire artificiel aux lèvres. Quelques paparazzi trônaient également dans la foule. C'est alors que mon regard se porta sur une petite orpheline haute comme trois pommes, elle avait les yeux bleus azures, les cheveux salles, elle portait des vêtements rapiécés et me regardait les yeux pleins de magie. Elle me prenait sûrement pour une de ces héroïnes de conte de fées, qui faisait de leurs rêves une réalité. Je réalisai à ce moment-là, qu'elle avait raison. Je vivais un conte de fées. Elle, n'avait rien moi, j'avais tout. Pour cette petite fille ainsi que les autres enfants, pour ma famille, pour moi; je devais être heureuse quoi qu'il arrive. Ce n'était plus un sourire forcé qui ornait mes lèvres, mais un réel sourire, un sourire magnifique joyeux et éblouissant. C'est alors que j’arrivai devant la grande porte en ivoire de l'église. Des gardes surgirent de nulle-part et nous ouvrirent la porte et à ce moment précis en voyant mon fiancé, mon visage devenu mitigé. Une partie était heureuse l'autre, terne comme du noir. Je m’avançai quand même, l'air de rien. La musique était douce, des enfants munis de paniers chargés de pétales de roses, nous jetaient leurs fleurs. On pouvait voir quelques rides apparaîtres sur le visage de mon père, heureux de m'accompagner jusqu’à l’hôtel. C'est alors que j’arrivai devant le prêtre qui prononça avec une sagesse inouïe ces quelques paroles...

     

    Prêtre: Nous sommes réunis aujourd'hui pour célébrer le mariage de Nina, Éloïse, de la cour avec...

     

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  • Commentaires

    1
    Samedi 30 Novembre 2013 à 13:29

    J'adore !!!!!!!!!!!!!! *w*

    2
    Samedi 30 Novembre 2013 à 14:32

    oh my gooosh. Comment oses-tu nous mettre autant de suspens ! ;-;
    Ce chapitre est tout simple MA-GNI-FI-QUE !! *QQ*

    3
    Samedi 30 Novembre 2013 à 17:05

    Super !

    4
    Niiinaaa
    Samedi 30 Novembre 2013 à 18:24

    Oh good la suite je vais pas tenir :(

    5
    Samedi 30 Novembre 2013 à 21:19

    Meciiii et j'ai fait exprès de mettre autant de suspense mouhahahahahahahaaaaaaaaa  et de toute façons le calendrier de l'avent va vous aider a tenir jusque là 

    6
    Dimanche 1er Décembre 2013 à 19:22

    Oh oui, c'est vrai !! Vive le Chocolat ! 

    7
    Lundi 2 Décembre 2013 à 16:52
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