• Il avait dis ça d'un ton sec, c'était vraiment choquant venant de sa part...

     

    Maman: Bon assez discuté je vais appeler les urgences.

    Moi: Non c'est bon maman, je vais bien.

     

    En faite c'était faux. J'allai bien mais, il y avait une chose qui me tracassait: ce que j'avais vue dans les yeux de Tom. C'était décidé j'allai lui parler dès que l'instant était propice. Je me leva alors et dis a mes parents que je rentrai a pieds, j'avais besoin de prendre l'air.

     

    Le lendemain je me réveilla à 7h30. Je pris ma douche m’habilla avec une tenue dont le haut était de couleur corail. C'était une chemise dont le bas était noué en un nœud, ce qui lui donnait de l'originalité. Pour aller avec ce vêtement j'avais choisis un pantalon de couleur blanc. Il était orné de motifs aztèque sur le coté, comme chaussures je choisis des compensés de couleur, eux aussi, corail. Pour ajouter un air casual a la tenue je m’empressai de prendre mon sac effet «cartable» de couleur corail. Je ne manquai pas non plus de prendre des plumes blanches qui rappelait le pantalon, en guise de boucles d'oreilles.

    Par le suite je pris mon déjeuner et me maquilla légèrement. Je descendis vite les escaliers en bois de ma maison, et j'arrivai devant la porte de l'entrée. Je m’apprêtas à ouvrir la porte lorsque ma mère m'interpella:

     

    Maman: Ma chérie tu est sûre de vouloir aller au collège? J'ai un mauvais pressentiment....

     

    Je balança la tête de haute en bas en guise de réponse et je partis en courant, car j'étais en retard... J’arrivais à l'école à 8h30. La grille se fermait, je courue aussi vite que possible, si seulement mon professeur de sport pouvait voir ça! J’arrivais juste attend. J’évitais de justesse la CPE et arriva à mon rand à l'heure. Dans la file j’aperçus Tom. Il avait toujours la même tête qu'hier, ce visage aussi impassible que soit il était toujours là..... On aurait dit qu'il était contrôlé. Mais oui! Il devait être ensorcelé; avec le sortilège du contrôle total! C'est le seul sort, à connaissance, qui pourrait lui faire cette effet. Je savais maintenant ce que je devais faire... Je devais aller à la bibliothèque du château, et trouver un contre sort... Il ma sauvé maintenant c'est à mon tour...
    La journée se passa normalement, a un détail près Tom ne m’adressai même pas un regard! Je savais qu'il était ensorcelé mais ça me faisait mal au cœur. Le soir même je me changea pour aller au palais. Arrivé a destination, je me dépêcha d'aller à la bibliothèque. J'étais maintenant arrivé dans la pièce en question. Elle étais magnifique. Le sol était recouvert de dalles qui formaient, au milieu de la pièce, un soleil. Des centaines de manuscrits ornais les étagères. Je m'aventuras dans une des allés. Arrivés au bout je m'assis sur un des petits canapés en cuir, qui étaient disposés en cercle. Des portraits de mes ancêtres étais accroché au mûre dans l'ordre chronologique. Je resta posé, là, quelques minutes. J’allai ensuite voir le bibliothécaire, un homme au cheveux gris, a la vue imparfaite, et au regard lui aussi, impassible.

     

    Moi: Bonjours, je cherche un livre dont le contenu m'indiquerait le contre sort, du sortilège du contrôle total.

     

    Comme à sont habitude le bibliothécaire ne prononça pas un mot et alla chercher le livre. Il me le donna, sans même ouvrir la bouche. Je retourna alors, sur mon canapé de cuir. Je ne pris même pas la peine de le feuilleter. Au contraire, je me contenta de l'ouvrir à la page du sommaire. Je trouvas vite la bonne page qui, était numéroté 150. Je tournais les pages le plus vite possible, l’excitation s’emparait de moi. J'allais enfin retrouvé le Tom que je connaissait, celui qui ma sauvé, celui en lequel j'avais confiance, celui qui, rien qu'en regardant ses yeux, me donnait de la force, mais surtout, celui qui me rendait heureuse.


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  • J'allais enfin retrouvé le Tom que je connaissait, celui qui ma sauvé, celui en lequel j'avais confiance, celui qui, rien qu'en regardant ses yeux, me donnait de la force, mais surtout, celui qui me rendait heureuse. Je tournais les page, quand j'étais enfin à la bonne page, je lus attentivement la consigne, elle disait que, lorsque je verrai la personne ensorcelé je devrais la regarder dans les yeux et lui dire ces quelques paroles: «toi qui n'est plus toi, toi qui ne ta contrôle pas, toi qui na rien pour toi grasse a moi tu peux maintenant, avoir tes pensés a toi». Une sensation de chaleur m’envahis. Était ce ça la sensation d'aider quelqu'un sans défense? Je n'en savais rien, et, a vrai dire je ne voulais pas savoir. Mes parents m'appelèrent pour aller manger par l'intermédiaire, d'une femme de ménage. Ma mère était vraiment trop occupé à faire je ne ses trop quoi en ce moment... Je descendis donc, souper. Le repas se passa normalement, a par les moments ou ma mère et mon père commençait a débattre sur mon mariage. Dans les moments comme ce ci, je ne parlais plus, je ne faisais plus aucun bruit, je me contentais d'écouter, pour, avoir ne serait ce qu'un seul indice, sur mon futur maris. Mais j'étaie aussi tétanisée, car, je ne savais pas ce que j'allais lui réponde, oui ou non au moment décisive. Cela m'inquiétait beaucoup, et plus le grand jours approchait, moins je dormais...

    Comme toute les autres nuits j’eus du-mal a m’endormir. Mon réveil sonnait 10h30 (je commençais à 11h00). Je me levais, d'un pat décidé. Aujourd'hui j'allais enfin pouvoir rendre sa liberté a Tom, rien que cette pensé me réchauffait le cœur, et me donnait envie de me lever.

    Arriver au collège je regardais tout autour de moi, pas un signe de vie de la victime. Je me rangea dans mon rand, le professeur d'anglais venait nous chercher et c'était partis pour une heure d’ennuis. J'entrais dans la salle, m’assis à ma place et commençais les exercices écris au tableau. Soudain on entendis toquer à la porte. Le prof' alla ouvrir et nous pûmes voir Tom entrer. Au même instant un rayon de soleil traversa la fenêtre a côté de la quelle j'étais assise, et illumina toute la pièce. Je regarda par la fenêtre puis tourna la tête en direction de Tom. Lui, ne m'accorda pas un regard. J’essayai alors de me concentrer encore une fois sûr mes exercice, mais, je ne pouvais pas m’empêcher de penser aux contre sort que j'allais devoir lancer sûre Tom. Ainsi que de la manière dont j'allai mis prendre, car je n'en savais rien. La cloche sonna, je rangea mes affaires et descendis dans la cours (comme, nous avions 2h00 pour manger et, qu'il y avait trop de monde au premier service nous devons manger aux deuxième). Je resta quelque temps avec Zoé, mais quand je vis Lili venir vers Tomqui était assis sur un bans, je me décida à y aller. Quand elle vis que j'allai également vers lui, elle accéléra la pas, et je fis de même.



    Lili: Je ne suis pas sûre que Tom accepte ta compagnie vue comment il t'ignore depuis quelques jours!



    Je décida de ne pas prêter attention a ces paroles, et je demanda alors à Tom de me suivre. Il gémit un long soupir et il balança la tête de haut en bas. Je regarda alors Lili avec un regard légèrement prétentieux.



    Lili: Tu ses quoi? Je m'en fous complètement tout simplement parce que lui il est beau, intelligent adorable, et drôle, alors que toi t'es sont contraire absolu!

    Moi: Tout contraire s'attire!



    Je la sentais quelle bouillonnais d’envie de sauter sur moi, et de me donner la «raclé» dont elle à toujours eu envie de me faire l'honneur d'avoir eu de sa part. Tom me suivis donc, nous allâmes dans un coin isolé de la cours et là je récita la phrase magique en question: «toi qui n'est plus toi, toi qui ne ta contrôle pas, toi qui na rien pour toi, grasse a moi tu peux maintenant, avoir tes pensés rien qu'à toi». Rien ne se produit et je vis Tom devenir rouge de colère.



    Tom: Non mais ça va pas la tête? Je te sauve la vie et toi tu veux me lancer un sortilège?

    Moi: Mais ce-ce n'était pas mon intention...

    Tom: Alors c'était quoi ça hein?



    Je n'osa pas lui dire la vérité et une larme coula alors sur ma joue. D'autre voulait alors faire à leurs tours le toboggan, mais je les empêchas, il fallait que je reste forte. Je vis Tom repartir vers Lili, je le suivis décidé à me faire pardonner. Quand Tom se retourna pour s’asseoir, et qu'il vit que je venais vers lui, il me fusilla du regard. Il attendu que je sois assez près de lui pour me dire ces quelques paroles:



    -Tom sur un ton sec: Qu'est ce que tu fais encore là?

    Moi: J-j'ai décidé de me faire pardonner...

    Tom: Ce n'est pas comme ça que tu vas y arriver.



    Je baissai la tête et m'assis sur le banc, au moins il m'avait adressé un regard...



    Lili: Qu'est ce qu'elle ta fait mon choupinet? Tu ses que tu peux tout me dire...

    Tom: Rien...



    Quelques minutes passèrent comme ceci, a ne rien dire, Tom et Lili m'ignorait, et moi je restais à côté d'eux telle une sans ami(e)s. Soudain Lili se décida a briser le silence:



    Lili: Sinon... Tom... Je me demandai si on pourrais aller aux cinéma ce week-end...



    Tom me balaya du regard pour, finalement, plonger ses yeux dans ceux de Lili, qui fit de même. Il ne quittait pas les yeux de Lili quand, il se décida à approcher ses lèvres des siennes. Lili a la fois surprise et contente ferma les yeux. Les larmes commencèrent a me monter aux yeux, alors qu'ils terminèrent enfin le baisé j'étais déjà en pleurs. J'avais l’impression que mon cœur était brisé en mille morceaux. Que ce passait-il? Ne me dites pas que j'étais tombée amoureuse? Non! Impossible! Il ne le fallait pas... Je ne le voulais pas...


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  • J'avais l’impression que mon cœur était brisé en mille morceaux. Que ce passait-il? Ne me dites pas que j'étais tombée amoureuse? Non! Impossible! Il ne le fallait pas... Je ne le voulais pas...

    Je regarda Tom, les yeux rouges et pleins de larmes. Lui, me regardais l'aire de rien... Je n'en pouvais plus... Je courue jusqu'au bout de la cour, je sentais les regards pesés sur moi... Ainsi que celui de Tom... J'entendais déjà le début des rumeurs circulé sur moi... Zoé me rejoignis, elle me demanda ce qu'il se passait, je n'avais pas la force de lui expliquer... Je me contenta de me plonger dans ses bras... Ohhh ma Zoé tu vas tellement me manqué... Si tu savais... La cloche sonna, Zoé me rappela qu'il fallait aller ce ranger. Je ne voulais pas, revoir encore une fois, tout ces regards pesés sur moi, et surtout, surtout, voir Tom m'ignorer à nouveau... Mon regard se porta alors sur le grillage, ouvert pour les externes. Aucun surveillants, juste un grillage, ouvert. Une idée me traversa alors l'esprit. J'allai sécher... De toute façons, dans quelques semaines, je ferais mes adieux au collège... Je serra fore Zoé dans mes bras, elle me regarda avec un regard intrigué. Je me dirigea vers le grillage, c'était la première fois que je faisais ça. Ni vue ni connue, je m’éclipsa du bâtiment. Je me trouvais maintenant toute seul dans la rue. Je ne savais pas trop quoi faire, lorsque je me décida a rentrer à la maison, j'entendis des pas venir vers moi... Je commenças a accélérer le pas, mais, apparemment, la personne qui était derrière moi, fit de même... Les pas ne cessaient pas, au contraire, ils étaient de plus en plus imposant... Je commençais a m'inquiéter, j’accélérai encore et encore, mais j'avais l’impression que la personne en question, était de plus en plus proche de moi... Je n'osait pas me retourner, par peur de ce que j'allais voir... Quand toute à coup, je sentis un souffle chaut dans mon coup... J'en était maintenant sûre, on me suivait... Je commenças a courir, aussi vite que je le pouvait... Je repensais au scène des films, ou l’héroïne, se faisait kidnapper... J'avais peur... peur de ce qui allait arriver... J’arrivai enfin devant la maison, je m’empressai de sortir mes clefs du sac, mes mains tremblaient... Au moment ou j'allais ouvrir le portail... On me pris le poignet et on essaya de me retourner... Je m’agrippais au portail... Telle une petite fille, qui ne voulait pas aller au lit, malgré les menaces de ça mère... Je ne tenais plus, de la sueur glissai sûre mon front, les battements de mon cœur s’accéléraient... Je cria a l'aide en espérant que quelqu'un intervienne... Et, aussitôt je sentis qu'on arrêta d’essayer de me retourner, et l'inconnu parla...



    ???: Nina! Pourquoi tu cris!



    Cette voix me paraissais étrangement familière, mais je ne savais pas de qui il s'agissait... Je me décida enfin à me retourner... Et je vue devant moi, Enzo qui éclata de rire...



    Moi: Tu trouve ça drôle toi??? T'aurais pus me prévenir que tu me suivais!

    Enzo: Si t'avais vue ta tête tu comprendrais pourquoi j'ai éclaté de rire! Et je voulais te prévenir mais, j'avais bau avancer, tu accélérais le pas alors...



    Sûre ce point, il avait pas tort... Mais il y avait une chose qui m'intriguait... Que faisait-il là? Il devrait être au collège à cette heure ci...



    Enzo: Rien qu'à voir ton regard je devine, que tu te demande ce que je fais là pas vrai?



    Je balança me tête de haut en bas en guise de réponse.



    Enzo avec un sourire au coin de la bouche: La même chose que toi...

    Moi: Je vois... Bon maintenant tu peux partir s'il te plaît?

    Enzo: Hummmm je pensai que tu allais me laisser entrer mais, apparemment ce n'est pas le cas... Au moins j'ai pût parler avec toi, c'est déjà ça...



    J’ouvris alors le portail, et m’apprêta à le fermer quand Enzo m'interpella.



    Enzo: Attend juste une chose, j'ai vus ce qui c'est passé avec Tom, tu ses moi, je ne t'orrais jamais fais ç...



    Je lui flanqua le portail au nez, il m'avait remis cette horrible moment en tête... Une larme coula sur ma joue... J'ouvris la porte d'entré, et alla m'écrouler dans mon lit les larmes aux yeux...


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  • J'ouvris la porte d'entré, et alla m'écrouler dans mon lit les larmes aux yeux.... Je pleurais toute les larmes de mon corps... criiii criiiii la porte s’ouvrait et la panique s'empara a nouveau de moi. Je sortis discrètement de ma chambre, et j'allai dans celle de mes parents. Là bas je pris la batte de baseball a mon père et j'avançais vers l’escalier.

     

    Moi: Qui...QUI EST LÀ?

    ???: C'est plutôt à vous que je devrais demander ça!

     

    Je reconnue la voix de ma mère, je descendis prudemment les escaliers sans abaisser ma garde, la batte a la main. Nous étions maintenant face à face, elle, elle me regardait d'un air interrogateur, et moi, je réfléchissais a ce que j'allai lui dire... La vérité, rien que la vérité...

     

    Maman: Ma chérie... Pourquoi est tu ici? Ne me dis pas que tu sèches les cours?

    Moi: Si... Mais je préfère qu'on aille dans le salon pour en parler...

     

    Nous allâmes donc dans le salons ou je lui expliqua tout ce qui c'était passé...

     

    Maman: Nan... Pas toi! Pas toi! C'est impossible...

     

    Les larmes coulaient sûr mon visage, j'avais déçus ma mère... J'ai toujours voulus que maman soit fière de moi et je venais, de démolir les fondations que j'avais construite...

     

    Maman: Ne t’inquiète pas ma chérie ce n'est pas grave de toute façons tu arrêteras les cours dans 2 ou 3 semaines alors... Et puis... J'ai très bien compris pourquoi tu avais fais ça... Malheureusement pour toi tu es amoureuses... Que tu le veuille ou non...

    Moi: Non... C'est faux...

    Maman sûre un ton enjoué: J'en est bien peur... Si tu veux je peux te faire un lavage de cerveau!

    Moi: La dernière fois que tu en as fais un, la «victime» de ton sortilège, c'est retrouvée sur Mars, sans magie, et avec un traumatisme crânien parce que, quand il est arrivé sur cette astre, un chariot lui est tombé sur la tête. Or, on a dû aller le chercher, il n'a jamais retrouvé c'est pouvoir, et parfois, il a mâle a la tête a cause de sont ancien traumatisme. Alors, NON il en est or de question! Quand à demander a papa, ni pense même pas...

    Maman: Je comprend ta décision ma chérie...

     

    Et elle repartie sans rien dire, l'aire de rien. Le reste de la journée se passa normalement, je ne fis que me morfondre dans mon canapé à regarder la télé, en mangeant des chips. Les semaines passaient, et toute les journées, à mon grand désespoir, ce passait comme celle ci. Tom ne m'adressait pas un regard, et n’hésitait pas a embrasser Lili devant moi. Moi, je l'oubliait dans mon coin, du moins j’essayais... Ma gouvernante me réveilla, il était 8h00, nous étions samedi et, si je me levait si tôt, c'était pour me préparer a mon nouveau départ, ma nouvel vie, loin de ces problèmes et des études, si je me levais si tôt, c'était parce que nous étions le 7 juin, le jours de mon anniversaire, le jour; de mon mariage...


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  • Ma gouvernante me réveilla, il était 8h00, nous étions samedi et, si je me levais si tôt, c'était pour me préparer à mon nouveau départ,ma nouvelle vie, loin de ces problèmes et des études, si je me levais si tôt, c'était parce que nous étions le 7 juin, le jour de mon anniversaire, le jour; de mon mariage...


    -Gouvernante: allez debout mademoiselle c'est un jour important aujourd'hui!


    Ma gouvernante ou plutôt Mathilde, voyant que je somnolais encore, commença tout d'abord par m'enlever la couette, comme je n'en faisais qu'à ma tête, elle alla dans ma salle de bain personnelprit un seau, le remplit d'eau. Elle revenu ensuite vers moi et me disent d'un ton autoritaire:


    Mathilde: Je n'aime pas faire ça mais... Lèves-toi sinon tu ses ce qui va t'arriver.


    J'ouvris grand les yeux et me décidai à me lever pour éviter la «punition». Alors que j'avais à peine posé mes pieds sur le sol, Mathilde m’entraîna dans la salle à manger pour que je puisse déjeuner. Après un quart-d'heure Mathilde m’entraîna cette fois si, dans ma chambre.

     

    -Mathilde: le mariage est à 11h30 et, puisque tu es une vraie marmotte, nous n'avons plus que 2h15 pour te préparer. Il faut donc que tu te dépêches!


    Elle sortie de ma chambre puis revenue 5 minutes plus tard avec une grande robe blanche. À ce moment-là, bien que mon moral n'était déjà plus très haut, il redescendit au fond du trou en voyant que la robe n'était pas celle que j'espérais. Il s'agissait d'un modèle en coupe en A avec une grande étrenne à l'arrière, la robe était recouverte de plusieurs froufrous en dentelles. Mathilde avait aussi apporté des gants de mariée en dentelles.


    -Mathilde: Elle te plaît?
    -Moi: Et bien c'est que je ne m'attendais pas à ça mais... oui...


    Était-ce un signe comme quoi Tom n'était pas celui que je croyaisDe toutes façons que ce soit lui, ou non, j’étaie décidé, je répondrais oui. Alors que j’enfilai la robe ma mère surgit de nullepartipart. Quand elle me vit la robe enfilée elle commença àpleurer. Mais était-ce des larmes de joie? Je partis ensuite me maquiller l'appréhension s'empara alors de mon corps. Mes mainstremblaient, et je savais qu'au fond de moi, j'orais voulus que ce moment n'arrive jamais. Étant prête, je pris mon courage à deux mains et sortis du château. Dehors, se tenait un carrosse argentéaux allures de contes de fées. Il était tiré par des chevaux ailés de couleur blanche. Je montai avec mon père dans le véhicule qui s’envola aussi tôt. Les larmes de tristesse commençaient à venir àmes yeux, mais je les retins en m'efforçant de me dire qu'il s'agissait du plus beau jour de ma vie. Quand le carrosse s'arrêta devant un tapis rouge, je sortis du véhicule et avançai aux bras de mon père vers les grandes portes de l’église. Quelques soixantaines de personnes étaient là, me regardant avancer un sourire artificiel aux lèvres. Quelques paparazzi trônaient également dans la foule. C'est alors que mon regard se porta sur une petite orpheline haute comme trois pommes, elle avait les yeux bleus azures, les cheveux salles, elle portait des vêtements rapiécés et me regardait les yeux pleins de magie. Elle me prenait sûrement pour une de ces héroïnes de conte de fées, qui faisait de leurs rêves une réalité. Je réalisai à ce moment-là, qu'elle avait raison. Je vivais un conte de fées. Elle, n'avait rien moi, j'avais tout. Pour cette petite fille ainsi que les autres enfants, pour ma famille, pour moi; je devais être heureuse quoi qu'il arrive. Ce n'était plus un sourire forcé qui ornait mes lèvres, mais un réel sourire, un sourire magnifique joyeux et éblouissant. C'est alors que j’arrivai devant la grande porte en ivoire de l'église. Des gardes surgirent de nulle-part et nous ouvrirent la porte et à ce moment précis en voyant mon fiancé, mon visage devenu mitigé. Une partie était heureuse l'autre, terne comme du noir. Je m’avançai quand même, l'air de rien. La musique était douce, des enfants munis de paniers chargés de pétales de roses, nous jetaient leurs fleurs. On pouvait voir quelques rides apparaîtres sur le visage de mon père, heureux de m'accompagner jusqu’à l’hôtel. C'est alors que j’arrivai devant le prêtre qui prononça avec une sagesse inouïe ces quelques paroles...

     

    Prêtre: Nous sommes réunis aujourd'hui pour célébrer le mariage de Nina, Éloïse, de la cour avec...

     


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